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" Amour, éternel toujours restera
Tant qu'épris de toi mon cœur sera"

 

"Retour" - 25/05/2003

Retour sur la poésie, les rimes
Mais sans aucune envie de frime
Juste un passage à vide, une petite déprime
Qui revient chaque année et me brime.

Résultante ou coïncidence,
Ce passage vient en période dense
Où se croisent peine et souffrance
Démotivation ou peut-être….. incompétence.

Suis-je vraiment qui je crois être
Ou n’est-ce qu’une pensée traître ?
Une idée de moi qui me fait croire
Que je peux résoudre seul tous mes déboires.

Je peux analyser les gens globalement
Les comprendre, mais seulement partiellement
Juste en les observant, en les écoutant
Mais peu me croient… moi jeune de 21 ans.

Conscient d’une triste vérité
Aucun boulot rendu depuis février !
Est-ce là une preuve d’immaturité
Ou juste de mon caractère, le reflet ?

Toujours tranquille, rarement énervé
Dans les moments importants, jamais stressé
Juste prendre de la vie ce qu’elle veut bien nous donner
Et toutes les désillusions, ne pas s’en préoccuper.

Désillusion de croire que je vais bosser
Qu’enfin la motivation va me pousser
A faire ce, par quoi chacun doit passer
A savoir, après les études….. travailler !

Je n’ai pas le bac en poche : pas de pot !
Critiquer ou incompris par beaucoup trop,
Moi dans ma tête je sais ce que je vaux
Ne me dites pas stupides, je dirai “FAUX” !

N’est probablement stupide que ma non confiance
Qui m’a affecté durant mon enfance !
La cause : ceux qui jugent de par l’apparence
Sans chercher à voir plus loin… stupide intolérance.

Aujourd’hui cette confiance est là
Du moins dans la vie, j’avance pas à pas
Et si parfois je m’arrête c’est à cause de toi
Celle inconnue ou charmante amie qui me foudroie.

Et c’est là que reste cette maladive peur
Cette banalité pour beaucoup, pour moi la terreur
Car de ton simple regard, tu embrases mon cœur
Et paralysé… l’amour avec le temps se meurt.

Lorsque je te vois t’éloigner, je pleure
Non pas extérieurement, juste de l’intérieur
Tristesse de ne plus jamais te revoir, douce fleur
De te laisser partir en sachant que tu es mon âme-sœur.

Tu t’accordes avec moi avec tant de simplicité
Que finalement l’idée de te décevoir m’effraie
Car te perdre me ferai tombé dans l’obscurité
De ce monde où tu es ma lumière… mon étoile du berger.

Ahhhh… l’amour, sentiment si ambigu
Pour certains unique, quasi inconnu
Pour d’autres physique, et très bien connu
Et pour moi : rare et si confus.

Mais en marge de l’amour reste l’amitié
Valeur très forte si elle est partagée
Pour moi très importante, une nécessité ?
Même moi je ne sais pas ce qu’il en est !

Tout ceci ramène à une chose : le bonheur
Opposé et pourtant si proche du malheur
Chacun le définit suivant son être intérieur
Pour moi le bonheur des autres est le meilleur.

Propos qui peut en faire rire beaucoup
“ Ce n’est pas suffisant” disent-ils pour vous
A croire que l’égoïsme est majoritaire parmis nous
Mais pour moi rendre heureux suffit… c’est tout !

Je n’aime pas cette stupide mentalité
Qui oblige chacun d’être à égalité
“ Qu’un autre soit plus intelligent, on ne peut tolérer”
Grosse foutaise et totale absurdité.

Je n’ai jamais su scolairement le montrer
Mais dans la vie je pense l’avoir démontré
Je comprends les choses avec facilité
Mais pourquoi vouloir me rabaisser ?

Je n’ai pas eu mon bac, je n’avais pas travaillé
Cela suffit-il a démontré ma stupidité ?
Je suis con à l’école, intelligent dans la vie
C’est la conclusion à tirer ? Si oui, tant pis !

Maintenant que vous avez lu attentivement
Ou dans le cas contraire rapidement
Vous allez me juger ! Mais j’analyse les gens aisément
Je sais donc me protéger. Vous me connaissez… partiellement !!!


"La vie"
la vie est belle quand le soleil sort son manteau lumineux
Mais tout peut s'écrouler lorsque les nuages cachent le ciel bleu
La pluie vient réveiller les escargots
Et chacun râle pour qu'il fasse beau
Mais quand les nuages disparaissent et que la température s'élève
La tension des gens se fait sentir car chacun veut une trêve
Mais tout le monde ne peut être satisfait
Et chacun doit faire avec le temps qu'il fait
C'est comme la vie qui s'écoule lentement
sans que chacun ne fasse ce qu'il entend
mais ça ne sert à rien de se prendre la tête pour des conneries
Il faut laisser tomber et continuer sa vie
pourquoi ne pas s'en aller pour recommencer
plutôt que de vouloir mourir pour n'avoir plus à penser
à toutes les fautes que l'on a commis
et qui nous empêche de dormir le nuit

"Sonnet en Seblexandrin"
Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant,
De cette jeune fille que j'aime tendrement,
Que je revois d'ailleurs dans mes rêves fort souvent,
Mais que j'ai du mal à distinguer facilement.

Est-elle blonde ? Est-elle rousse ? Est-elle brune ? Je ne sais,
Mais je l'aime et je l'adore pour l'éternité,
Car sa voix envoutante ne cesse de me parler,
Et m'appelle surtout à ne jamais la quitter.

Cette jeune femme se balade dans la nature
Au milieu des arbres et fleurs dont la beauté pure
S'illumine de tous feux pour montrer mon amour.

Je l'aime vraiment et surement à la folie,
Mais comment savoir de quelle fille il s'agit ?
Ce doit être celle qui m'envoute tous les jours...


"Les préjugés"
On a souvent parlé de préjugés
Mais il y a aussi les rumeurs
Qui accentuent tous ces faits
Entraînant les intéressés dans le malheur

On comprend pourquoi les larmes ne sortent pas
Quand pourtant notre moral est au plus bas
Car ce n'est pas de la tristesse, mais de la haine
Qui remplit notre cour et se déchaîne

Car comment se sentir coupable et attristé
Par un malheur tant redouté
Quand on sait que c'est par certains qu'est venu
Le désespoir d'un bonheur tant attendu

Il faudrait mettre tout cela de coté
Laisser les gens vivre sans cette peur
Que ce que l'on est soit un préjugé
Pour ceux qui empêchent de faire naître le bonheur


"L'alcool"
Pourquoi me réfugier dans l'alcool,
Faut pas croire que j'picolles,
Mais quand le désespoir est là,
Et qu'il m'attend un peu plus bas,
Je n'ai qu'à me laisser glisser
Pour finalement tomber.

Mais il faut se reprendre,
Car la vie peut être tendre,
A condition qu'on le veuille vraiment,
Et que l'on ne sombre pas lentement
Vers la lumière noire qui, impatiente,
Attend notre venue en bas de la pente.

C'est pour ça que l'alcool n'est pas bon,
Car ça ne résoud rien et faut être con
Pour penser que boire ou fumer c'est formidable
Car ça sert juste à passer des moments formidables
Après s'être défoncé jusqu'à la limite
Où notre corps et notre esprit arrivent au seuil critique.


"Histoire Géo"
la vie est belle quand le soleil sort son manteau lumineuxLorsqu'on va en français,
L'oreiller est de rigueur,
Mais en histoire-géo, toute l'année,
C'est le lit qui est meilleur.

Notre chère prof stressée,
Qui nous demande de nous la fermer,
Et qui montre l'exemple en chuchotant,
Croyant faire un cours normalement.

Avec elle il faut travailler,
Et surtout ne pas se faire remarquer,
Sauf à l'oral pour parler,
Car il est important de participer.

On peut se demander si elle réfléchie,
Car elle ne retient rien de ce qu'on lui dit;
En clair, elle vient juste pour nous faire chier,
En se reprenant sans cesse s'apercevant qu'elle s'est trompée


"Français"
M.Tapas est un professeur,
Qui éduque de tout son coeur,
Les élèves du lycée Evariste,
Qui ne sont vraiment pas triste.

Mais pour ses cours il est vrai
Qu'il vaut mieux prévoir un oreiller,
Pour pouvois profiter pleinement
De sa voix qui endort doucement.

Tout de même, il est gentil
De nous avoir déjà dit :
" plutôt que de déranger la classe, mieux vaut dormir",
Car cela nous évite, avec un avertissement, de sortir


"Mathématiques"
Ah, la bonne vieille Coulant,
Faisant son cours en suant,
Et que dire des avertissements
Qui restent des paroles tout le temps.

Y'a pas à dire, avec elle tout va,
Au rythme d'un cours tous les 2 mois,
En se disant que c'est les élèves qui, chaque fois,
Foutent la merde pour que le programme ne finisse pas.

En tout cas, c'est la fête quand on vient,
Car en cours de maths on ne fait rien,
Sinon attendre qu'arrive la fin
Pour que la crise de nerfs de la prof stoppe enfin.


"L'automne"
Les feuilles vertes peu à peu se rougeoient
Les branches nues lentement se déploient
Avec l'automne qui dévoile ses couleurs
Et cache les rayons lumineux du bonheur

Car quand l'été nous délaisse
Qu'il laisse sa place de déesse
Illuminant nos journées sans cesse
Nous poussant à la paresse

Mais on peut retrouver le bonheur
Non par le soleil mais dans le cour
Et quand l'hiver nous arrivera
La neige illuminera ce bonheur là

Noël et les fêtes toute l'année
Nous rapprochant de notre bien-aimée
Et chacun pouvant alors retrouver
Ce bonheur oublié


"L'amour" - 1er

Nous sommes entrés dans le nouveau millénaire,
Mais rien n'a changé sur la Terre ;
Par la guerre, certains meurent tout le temps,
Tandis que d'autres s'aiment tendrement

Mais comment trouver l'amour réel,
Celui qui nous donne le bonheur éternel ?
Faut-il croire au coup de foudre,
Ou, est-ce au destin d'en découdre ?

Mais quand celui-ci se fait oublier,
Qu'il nous délaisse pendant des dizaines d'années,
Vaut-il mieux affronter la mort
Ou continuer à attendre cet amour si fort ?


"L'amour" - 2ème
Je te vois tous les jours, toutes les nuits,
Ton visage, ton sourire illuminent ma vie
Avec toi mes rêves sont un paradis
Où je me noies avec envie.

Que tu sois de bonne humeur
Ou à l’inverse de mauvaise humeur
Etre avec toi fais mon bonheur
Et ma joie à toute heure.

Une journée entière sans toi
Déchires mon cœur, éteint ma joie
Crée un manque terrible en moi
Qui m’oblige à penser sans cesse à toi

Il est donc une chose que je ne peux nier
C’est que je t’aime ma bien-aimée
Et que la vie sans toi ne peut exister
Car dans mes pensées tu seras pour l’éternité


"Le dernier"
Chacun, un jour, songe à la fin
A partir, s’en aller loin, très loin
Peut-être pour une terre sans retour
Où l’on trouverait la paix, l’amour.

L’envie de tout quitter
Peut à l’évidence m’amener
A en finir avec ce cauchemar
Qu’est ma vie mon histoire.

Mais pourquoi vouloir tombé
Dans cette facilité qu’est de se tuer
Autant changer de vie, tout quitter
Partir seul, sans se retourner.

En outre qui pourrait me retenir,
Qui en me voyant pourrait dire :
Ne pars pas, tu comptes pour moi,
Reste et serres moi fort dans tes bras.

Il n’est personne et c’est une réalité
Celle d’un type qui a tout gâché
Comment ? Lui-même ne le sait
Mais seul à présent il est.

J’aimerai vous dire adieu
M’en aller pour de meilleurs cieux
Mais comment savoir si ce serait mieux
D’aller ailleurs seul et malheureux.

Le choix reste donc en suspens
Et peut-être sans réponse un moment
Car c’est la mort qui viendra me chercher
Pour me guérir des souffrances du passé.


"Adrien"

Quitter une famille n'est jamais chose aisée
surtout quand elle vous a fait aimer
un sport tel que la gymnastique
qui demande souplesse et technique

De surcroît tu as su t'intégrer
et c'était avec joie que les mardis et jeudis on te voyait progresser
et apprécier pleinement notre compagnie
Excepté lorsqu'il s'agit d'abrutis

Tu es devenu un gros bœuf
nous prouvant qu'on peut progresser si on le veut
et aux championnats de France tu as réussi
a montré que tu avais ta place toi aussi

Mais hélas tu t'en vas loin de nous
et tu as un saleté de putain de cafard qui te rend fou
mais saches que c'est nous tous qui te regretterons
car tu étais devenu un super pote avec qui nous délirions

C'est donc avec un cœur déçu que tu nous laisses
mais les notres pleurent de tristesse
de savoir que tu ne seras plus là
et que trop loin pour nous revoir tu t'en vas.


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